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25 septembre 2011

Marguerite DURAS (1914~1996) - BIOGRAPHIE

Marguerite DURAS (1914~1996) - BIOGRAPHIE

     Marguerite DONNADIEU naît en 1914 en Cochinchine à Gia Dinh, près de Saigon. Son père, Henri, Professeur de mathématiques et sa mère, Marie, institutrice, enseignent en Indochine. Elle a deux frères aînés, Pierre et Paul. Son père a été nommé directeur de l’enseignement en Cochinchine, mais il doit rentrer en France pour raison de santé, en 1918. Il y décèdera en 1922.

     La vie de la famille s’effectuera entre des séjours en France (1922 à 1924, puis 1931) et des séjours en Indochine (1924 à 1930, puis 1932 et 1933) successivement à Phnom Pen, à Vinh Long un poste de brousse, puis dans la ville de Sadec où sa mère enseigne.

     En 1928, Marie Donnadieu met tout son argent dans l’achat d’une concession au bord du Pacifique et s’y installe avec Paul et Marguerite. Les terres qui lui ont été attribuées se révèlent incultivables. Ruinée, la famille quitte la concession.

     Marguerite est une excellente élève au lycée français de Saigon, où elle est entrée en 1929 et passe son second baccalauréat en 1932. 

    En septembre 1933, la jeune fille quitte définitivement l’Indochine pour venir faire ses études à Paris, à la faculté de droit et suivre parallèlement des cours de mathématiques spéciales. Après un intermède de six mois à l’Armée du Salut pour s’occuper des déshérités en 1935, elle s’inscrit à l’école des sciences politiques où elle a d’excellents résultats et une grande capacité de travail.

     Marguerite partage sa passion pour la littérature avec Jean Lagrolet avec qui elle a une liaison. Deux autres étudiants, Georges Beauchamp et Robert Anthelme sont amis du couple.

     En 1938, elle entre au ministère des Colonies. Elle épouse Robert Anthelme en 1939. En juin 1940, c’est l’invasion allemande, puis l’armistice du gouvernement de Vichy. Marguerite quitte d’abord Paris, démissionne du ministère et revient en septembre à Paris.

     Elle emménage avec Robert, rue Saint-Benoît et commence à écrire. En 1941 et 1942, Marguerite et Robert travaillent dans les ministères de la collaboration. Dès 1943, ils y font une résistance invisible. Ils s’engageront ensuite activement, faisant de l’appartement de la rue Saint-Benoît, un foyer de la Résistance et un refuge.

     En 1944, Marguerite entre au parti communiste et y milite activement. Robert est arrêté, déporté à Buchenwald (Il en reviendra en 1945 en très mauvais état). L’appartement de la rue Saint-Benoît devient un lieu d’intenses échanges et d’ouverture sur le monde.

     En 1946, elle divorce de Robert. En 1947, elle a un fils, Jean, de Dionys Mascolo, ami du couple, qui travaille chez Gallimard.

     En 1949, elle quitte le parti. Elle reste dans l’action politique et s’engage dans le combat des intellectuels contre le colonialisme au moment de la guerre d’Algérie. Elle fait partie des signataires du manifeste des 121 affirmant le droit à l’insoumission. Elle publie des articles dans les journaux tout en continuant son travail d’écrivain et écrit aussi pour le cinéma.

    Toutes ces années sont marquées par une création intense. Marguerite DURAS se signale par une grande indépendance de pensée et de mœurs. C’est une période d’excès, de virées nocturnes, de dépendance sexuelle avec l’écrivain Gérard Jarlot. Elle devient aussi dépendante de l’alcool.


Elle vivra désormais accompagnée par l’alcool et la dépression.

Les événements de 1968, replongent Marguerite dans un militantisme actif pour une mise à bas de l’ordre bourgeois.

Elle écrit pour le cinéma et devient réalisatrice.

En 1980, elle rencontre Yann Andréa qui l’accompagnera jusqu’à la fin de sa vie.

En 1982, en danger de mort, Marguerite accepte de faire une cure de désintoxication.

En 1984, alors que tous la disaient « finie », paraît son plus grand succès, l’Amant, récompensé par le prix Goncourt. C’est une renaissance. Même si son addiction à l’alcool se poursuit, un certain apaisement marque la fin de sa vie.

Elle meurt en février 1996.

UN BARRAGE CONTRE LE PACIFIQUE (1950) - Marguerite DURAS (1914~1996)

Marguerite DURAS (1914~1996) – ŒUVRE

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18 septembre 2011

UN BARRAGE CONTRE LE PACIFIQUE (1950) Marguerite DURAS (1914~1996)

UN BARRAGE CONTRE LE PACIFIQUE (1950) - Marguerite DURAS (1914~1996)

      Marguerite DURAS se sert de l’expérience qu’elle a vécue en Indochine, dans sa jeunesse, pour y situer son récit dans les années vingt. La vie de colons blancs pauvres,  la misère de « petits blancs » grugés par l’administration coloniale, proies de la concussion des petits fonctionnaires, constituent le propos du roman.

    L’obsession constante de la mère et de ses deux enfants, Joseph et Suzanne, est trouver le moyen de se procurer de l'argent. La famille côtoie la population indigène misérable, décimée par les maladies et la faim, méprisée des riches blancs, qui, en eux, ne voient  qu’une masse à exploiter.

     Marguerite DURAS décrit la plaine de Kam,  zone reculée de l’Indochine française, belle mais hostile, entre l’océan et la forêt montagneuse. Des bagnards et des terrassiers indigènes au sort encore plus précaire et tout aussi misérable, ont construit la piste qui relie le bungalow de la mère et de ses deux enfants au petit poste avancé de Ram. Celle-ci est fréquentée par les chasseurs de gros gibier et de fauves. 

     L'auteure dépeint la grande ville coloniale, le va-et-vient des hommes d’affaire, les bordées de marins, l’hôtel de passe, la circulation de l’argent, les trafics, la classe des gens d’affaire (M. Jo, Barner, le couple rencontré en ville).

     Ce roman est centré autour de la mère. Les relations, qui lient la mère à son fils et à sa fille, comme celles entre le frère et la sœur, sont fusionnelles  et ambiguës. Nous suivons la lente agonie de la mère, l’émancipation des enfants qui se dégagent de sa tyrannie affective. Suzanne, adolescente, découvre son pouvoir sur les hommes et l’amour physique, tandis que Joseph part avec une femme.

××××××××××××

   On retrouve l’ambiance des récits d’auteurs américains comme Hemingway, Steinbeck, Caldwell:

  •     les dialogues dans une langue parlée autour de la recherche de l’argent, du mariage de Suzanne, de la vente de la bague…, comme la rencontre avec M.Jo à la cantine du père Bart à Ram.    
  •     Des retours en arrière bouleversent la chronologie du récit. La durée de la lutte de la mère contre les eaux, celle du séjour dans la grande ville et celle de la disparition de Joseph, prennent une durée indéfinie alors que ces évènements n’ont dû n’être que ponctuels. La répétition de scènes précises scandent le récit et brouillent la notion de temps.
  •      L’histoire s’organise autour de lieux décrits avec réalisme et une géographie vraisemblable. Le bungalow, la piste, le rac, la forêt, la cantine de Ram, la grande ville, l’hôtel central, l’Eden Cinéma sont autant de décors, qui créent un espace  symbolique favorisant l’expression du désir, du rêve, ou de la mort.
  •     Des objets, la Citroën, la Léon Bollée, le phonographe, le diamant, ont une importance significative dans le récit.
  •    Une grande place est attribuée à l’obsession, la violence, le désir des personnages. Lors de la première rencontre avec M. Jo et lors de la venue de l’inspecteur de l’administration, la conscience du tragique de la situation de la mère et des enfants et de leur impuissance face à des forces qui les dépassent s’exprime par un rire de désespoir démesuré, violent, grotesque.   

      M. DURAS révèle dans ce roman, des qualités qui lui serviront pour le théâtre et pour le cinéma.

       Un barrage contre le Pacifique a fait l'objet d'une adaptation cinématographique distribuée par Diaphana (2008). Il s'agit d'un film franco-belge réalisé par Rethy Panh,  tourné au Cambodge en 2007. Isabelle Huppert avait le rôle de la mère, Gaspard Hulliel celui de Joseph, Astrid Bergès-Frisley celui de Suzanne et Randal Douc était Monsieur Jo.

Marguerite DURAS (1914~1996) - BIOGRAPHIE

Marguerite DURAS (1914~1996) – ŒUVRE

 

4 septembre 2011

L’Empereur de Chine Qianlong (1711~1799)

L’Empereur de Chine Qianlong (1711~1799)

     Qianlong (1711~1799) ou K’ien-Long fut le 4ème Empereur de la dynastie mandchou  des Qing. Il était le petit-fils de Kangxi ou K’ang-Hi (1654~1722) dont le règne commença en 1662. Le successeur de Kangxi fut son quatrième fils, l’Empereur Yongzheng (1678~1735).Empereur de Chine en 1735, à la mort de son père, dont il était le quatrième fils, Qianlong continua l’œuvre de son grand-père.

Portrait de Qianlong en vêtement de cour : 

454px-Portrait_of_the_Qianlong_Emperor_in_Court_Dress

 L’œuvre intérieure

     Dès le début de son règne, il fit preuve de mansuétude envers des princes de sa famille, fils ou petits-fils de Kangxi qui avaient été emprisonnés, exilés ou dégradés, à la suite d’intrigues de cour ou d’une politique soupçonneuse ou peu éclairée.

Renforcement des institutions : Il fit entreprendre le recensement des membres de chaque foyer et continua d’étendre systématiquement les systèmes baojia et lijia établis à l’origine par la dynastie des Song. Ces systèmes communautaires pyramidaux de contrôle social étaient basés sur le regroupement de familles, qui à tour de rôle étaient responsables du groupe vis à vis de l’administration. Le premier concernait l’application des lois et des décrets, le second garantissait la collecte des impôts.

Grands travaux d’aménagement : Il fit entreprendre de grands travaux pour contenir dans leur lit le Houang-he (Fleuve jaune) et le Yang-Tseu-Kiang (ou Chang Jiang, ou Yangzi Jiang), dont les ravages menaçaient sans cesse les provinces fertilisées par leur cours.

     Il donna l’ordre de faire construire des digues sur le bord de la mer dans les provinces du sud.

Voyages dans les provinces : Qianlong se rendit six fois dans les provinces  du midi, y donnant des ordres utiles d’aménagement mais aussi pour punir les malversations des mandarins corrompus envers lesquels il était inflexible.

     Par les temps de sécheresse, ou d’inondation, il fit dans différentes provinces des remises partielles des droits en nature ou en argent et fit distribuer des secours aux pauvres.

Les révoltes intérieures

      L’empereur mandchou dut faire face aux révoltes nationalistes organisées par des sectes politico-religieuses particulièrement actives à partir du XVIIe siècle qui s’étendirent sur toute la Chine et opéraient pour la restauration de l’empire des Ming.

Les triades fondées en 1650 développèrent un rituel imprégné des rites bouddhistes, taoïstes mêlés de confucianisme. La répression des insurrections qu’elles organisèrent fut extrêmement féroce. Nombre de leurs membres durent s’exiler.

Les Lotus blancs avaient pour origine une sorte de syndicat fondé par des bateliers, la Bande verte ou « Société pour la paix et la félicité », qui revendiquait de meilleures conditions de travail. Les membres en étaient presque tous bouddhistes. Les différentes sectes affiliées au Lotus blanc étaient souvent de caractère violent. Elles s’occupèrent de plus en plus de politique.

     Jusqu’en 1774, les deux mouvements agissaient de concert puis leur chemin divergèrent. Au fur et à mesure, elles se transformèrent en véritables sociétés secrètes.

Les campagnes militaires

- Récupération du Turkestan : Il récupéra définitivement le Turkestan qu’il baptisa Xinjiang (« Nouvelle frontière »). La région avait été sous la domination chinoise des Tang au VIIe siècle. À partir du VIIIe siècle, les Chinois s’étaient trouvés alors rejetés loin vers l’est par l’introduction de l’Islam qui avait favorisé la création de principautés turques indépendantes. L’implantation chinoise se composait essentiellement de garnisons militaires et de marchands de la route de la soie.

 - Annexion de la Dzoungarie peuplée par les Eleuthes (ou Kalmouks ou Dzoungars ou Djoungares ou Jüngars. Cette région, qui est délimitée au sud par les monts Tian Shan, au nord par l’Altaï, à l’est par le désert de Gobi et ouverte à l’ouest sur la vallée de l’Irtych (Ertix, Ertis), fut annexée en 1757.

- Soumission de la Birmanie : De 1765 à 1767, les Chinois tentèrent trois fois d’envahir la Birmanie. Toutes ces tentatives furent repoussées. En 1769, ils investirent à nouveau le pays. L’armée birmane, dirigée par des métis portugais et français, fut défaite. Les Birmans envoyèrent une ambassade pour l’anniversaire de l’empereur. Il fut convenu que tous les dix ans les Birmans adresseraient un tribut à la cour de Pékin.

- Transmigration des Tourgoutes : Un peuple nomade, les Tourgoutes, (Tourgouts), originaire du pays situé entre la Toula et Orgou avait fuit l’oppression des souverains kalmouks et s’étaient établis entre le Don et la Volga. Là, cette tribu ne pouvait s’accommoder des règles institutionnelles de la Russie qui lui imposait de fournir des soldats. D’autre part, étant bouddhistes, elle subissait des vexations en raison de sa religion. Décidé par les avances faites par le gouvernement chinois, le khan, Oubacha, prit la résolution de faire rentrer son peuple dans son pays d’origine. En août 1771, les fonctionnaires chinois accueillirent 50 000 familles (environ 300 000 individus) sur les bords de la rivière Ili où l’empereur leur assigna des terres.

- Réduction des Miao Tseu : Les Miao Tseu appartenaient à un petit peuple de race tibétaine qui avait gardé son indépendance grâce à l’inaccessibilité de son territoire enfermé dans les montagnes du Sse Tchhouan. Des querelles de voisinage se produisaient de temps en temps avec les officiers chinois des villes voisines. Sous prétexte de brigandage de leur part, Qianlong voulut les soumettre en 1775. Malgré la résistance courageuse des Miao Tseu, ils furent pratiquement exterminés. Leur prince fut mis à mort à Pékin, leurs chefs furent massacré et leur tête furent exposées dans des cages.

- La campagne du Tibet : Envahi par le Népal voisin, le Tibet  fit appel à la Chine pour s’en libérer. En 1780, le Pantchen Lama fut invité à Pékin par Qianlong pour son soixante-dixième anniversaire. Après l’audience de l’empereur à Jehol, le Pantchen Lama contracta, dit-on, la variole et mourut à Pékin le 27 novembre 1780. Cette mort parut suspecte.

 - L’Annam : En 1787, au Viêt Nam, le dernier roi de la dynastie Lê, qui avait dû fuir devant les Tay-Son, avait fait appel à la Chine pour sauver son trône. Les Chinois reprirent Hanoï le 19 décembre 1788. Un peu plus d’un mois plus tard, le 26 janvier 1789, l’armée chinoise se laissa surprendre et fut vaincue. Suite à cette défaite, elle se replia et n’intervint plus au Viêt Nam pendant quatre-vingt-dix ans.

     L’empereur ne dirigea jamais lui même les combats. Cependant, il alla visiter les troupes dans la steppe. Il accueillit les généraux vainqueurs et reçut la soumission des vaincus. Ces nombreuses et coûteuses campagnes causèrent de lourdes pertes. Elles n’entraînèrent pas de succès écrasants et affaiblirent l’armée.

Les ambassades occidentales

     Seul, le port de Canton, seulement quelques mois dans l’année,  reste ouvert au commerce avec l’étranger, à partir de 1756. Les compagnies commerciales étrangères souffraient de ces restrictions devant lesquelles elles se montraient de plus en plus impatientes.

L’ambassade anglaise : En 1793, une ambassade anglaise conduite par lord Macartnay, représentant le roi George III, se voit refuser ses demandes d’ouverture du commerce à la Grande Bretagne et d’installation d’une délégation permanente à Pékin. Cet échec sera la source des futurs conflits qui caractériseront par la suite les relations internationales avec la Chine pendant un siècle et demi.

L’ambassade hollandaise : En 1794, financée par la Compagnie néerlandaise des Indes orientales à Canton, une ambassade hollandaise, venue par voie de terre, est reçue à Pékin parmi les délégations de vassaux de l’empire. Elle n’aura même pas la possibilité de demander quoique ce soit.

    Au problème de l’ouverture restreinte du marché chinois, se greffe un problème monétaire de plus en plus insupportable pour l’économie mondiale fondée sur la monnaie d’or concurrencée par l’économie chinoise qui utilise une monnaie d’argent.

Qianlong esthète et érudit

     Grand amateur d’art, Qianlong enrichit les collections impériales en créant et développant les ateliers impériaux où servirent de nombreux artistes missionnaires jésuites comme l’Italien Giuseppe Castiglione (1688~1766), arrivé en Chine en 1715, et le Français Jean-Denis Attiret (1702~1768), arrivé en Chine en 1738, tous deux décorateurs et peintres,  connus sous le nom chinois de Lan Shining pour le premier et de Wang Zhicheng pour le second.

     Qianlong était passionné de jardins. Il fit édifier des palais européens dans sa résidence du Yuangming yuan et y fit réaliser les travaux hydrauliques, des buffets et jeux  d’eau par  G. Castiglione et le jésuite français, mathématicien, astronome et géographe, Michel Benoist (1715~1774), arrivé en Chine comme missionnaire, connu en Chine sous le nom chinois de Jiang Youren. Ce dernier  participa à la réalisation d’une carte générale de l’Empire de Chine gravée sur cuivre.

     Érudit, Qianlong commanda la rédaction de nombreux ouvrages dont la Bibliothèque complète en quatre sections (Sigu Quanshu), mais ordonna la destruction  des ouvrages hostiles aux Qing.

          L’imprévoyance de Qianlong à préparer la Chine à la confrontation avec l’Occident, la corruption et le fait d’avoir laissé son  favori, Vice-roi, puis ministre tout puissant, Heshen ou Ho Chen (1750~1799), profiter de sa situation pour accaparer le pouvoir, corrompre le gouvernement et amasser une fortune colossale durant 20 années, les exactions de Heshen, furent l’une des causes de la décadence de la dynastie des Qing et commencèrent à miner l’empire de Chine. Le favori fut arrêté cinq jours après la mort de Qianlong et fut condamné au suicide par l’empereur Jiaqing.

          Qianlong abdiqua à 84 ans (1796), en faveur de son fils Jiaqing (1760~1820), qui fut Empereur de 1896 à 1820.  Qianlong conserva cependant la réalité du pouvoir jusqu’à sa mort.

Alain PEYREFITTE (1925~1999) – L’Empire immobile ou le Choc des Mondes (1989) - message de colinecelia - cliquer ici

 

Sources : Le Petit Robert des noms propres Dictionnaires Robert, 27 rue de la Glacière 75013 PARIS

http://books.google.fr/books?id=8gQEAAAAYAAJ&pg=PA2236&lpg=PA2236&dq=Transmigration+des+Tourgoutes+1771&source=bl&ots=v9BaMUAI1_&sig=WIcUDczRoaqSSO3HhoDp05BWlhU&hl=fr&ei=D24TTsGmGIiD-

http://www.chinecroissance.com/histoire-de-la-chine/dynasties-chinoises/

Histoire générale de la Chine, Henri Cordier, 1920, Tome 3, archive BNF

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k26606j/f348

http://classiques.uqac.ca/classiques/abel_remusat_jean_pierre/melanges_asiatiques_t2/remusat_nmelasia_t2.pdf

http://www.chine-informations.com/guide/qianlong_439.html

http://www.religionmonde.info/LE-LOTUS-BLANC.html

http://www.terrescontees.com/regions/chine/xinjiang.htm


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